Le féminin ancré, une tradition du futur.

« Entre une super sacralisation du féminin et un féminisme qui n'a pas pensé le corps, il existe une alternative : le féminin ancré. Une approche novatrice où les femmes se reconnectent à leur corps, à leurs désirs, à leurs motivations et développent leur propre ressources. Loin du chant des sirènes, sans dogme et dans l'autonomie. »


Ateliers & retraites en Présentiel

LA DANSE, LE PÉRINÉE, LE RITUEL

Régénérer les liens - coupés ou actifs - avec le ventre.

Ateliers de 2h30 à Paris.

> 28 janvier > 18 février > 25 mars > 8 avril >13 mai > 17 juin

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SE RECONNECTER A SON CORPS

Développer

sa puissance féminine

Stages de 2 jours à Paris.

> 26-27 novembre. > 21-22 janvier

> 18-19 mars > 27-28 mai.

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RITUEL DE LA FEMME ANCRÉE

Dans la puissance des éléments

Séjour résidentiel sur 7 jours.

26 avril au 3 mai 2023

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RITUEL DE LA FEMME ANCRÉE

Reconnexion à la terre

8 au 14 juillet 2023.

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Formation en Ligne

Formation en ligne

LA DANSE, LE PÉRINÉE, LE RITUEL

Expérimenter et intégrer

la méthode

Plusieurs sessions

> 27 mars au 17 avril.

> 15 mai au 5 juin.

> 12 juin au 3 juillet.

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Une méthode basée sur la danse El Hâl

 

Le Hâl est l’état de présence divine dans les rituels d’Afrique du Nord.

 

Saïda Naït-Bouda ayant basé sa recherche aux sources de ces savoirs, propose LE FÉMININ ANCRÉ une approche transculturelle qui en garde l’essence et l’esprit : ancrage à la terre, puissance du ventre, intériorité dans le collectif, auto-soin et régulation des rapports dans la communauté, lien avec la nature, extase, autonomie, transformation et renouvellement.

 

La recherche s’appuie sur les mouvements archaïques dans les pratiques féminines profanes et sacrées dans les rites et rituels à caractères thérapeutiques :  célébration de la terre et rite de fertilité chez les femmes chaouïya, rituels de passage, transe et initiation dans les rituels de transe féminine (hadras), corps connecté dans les danses des femmes touaregs.

 

Ni transmission d’une technique, ni apprentissage d’un folklore, il s’agit de retrouver le chemin dans le corps de ces savoirs universels inscrits dans notre mémoire individuelle et collective.

 

Une approche de l'ancrage qui passe par la ré-activation du périnée.

 

Trop souvent méconnu, ou hélas au moment où il nous fait défaut, le périnée est pourtant le point central de la posture globale et l'élément clé du soin du féminin tout au long de notre vie.

 

Par la prise de conscience et l’éveil du périnée, nous ouvrons à la multiplicité des champs dans lequel il est relié.

 

Sur le fond

Il agit sur la libido et le renouvellement de l’énergie vitale, stimule le désir et la création ; redonne la capacité de se sentir présente dans son corps et en sécurité en toutes circonstances ; il nous permet de mieux se poser, écouter ses motivations et ses envies pour prendre sa place, nous met en relation avec notre mémoire corporelle, collective et générationnelle, nous renforce et nous redonne confiance en soi.

 

Au quotidien

Il améliore la posture globale dans un corps fluide, sensible et connecté, allège les crispations, régule et auto-soigne notre intimité et notre système intestinal.

 

Une approche de (re)connexion du corps

 

Une étude approfondie porte sur le mouvement brut et répétitif de danses archaïques. Mouvement déjà inscrit dans le corps humain et qui pourra être réactivé.

Il ne s'agit donc pas d'aller vers une forme ou une tradition

mais de retourner vers

ces savoirs profondément inscrits en chacun de nous.

Non pas d'apprendre,

mais de retrouver

les chemins de ces savoirs inscrits dans notre corps et qui demandent à être réactivés.

 

Une recherche qui s’appuie sur de long voyages aux cœur des pratiques féminines profanes et sacrées d'Afrique du Nord.

 

La recherche s'appuie sur de longs voyages aux coeur des rituels à caractère thérapeutique - Zaar, Samâa, Gnaouas -, les pratiques féminines profanes et sacrées des femmes Amazighs* - Chaouiya et kabyles -, de la suspension du corps dans les danses sahariennes - Maures et Touaregs -. Elle s'enrichit en parallèle d'une étude de la construction de l'espace dans l'architecture musulmane, du port du drapé antique en méditerranée, des rituels de lamentation, de l'encens et de l'aromathérapie.

*Les amazighs sont les peuples natifs d'Afrique du Nord communément appelés berbères.

 

Une pédagogie transculturelle

 

Ni apprentissage d'une technique où d'un folklore, toutes la démarche est de proposer un espace où les femmes peuvent explorer l'incroyable champ de leur propres ressources. Pour la prévention de leur santé au quotidien, pour se sentir mieux dans leur corps, pour développer leur autonomie et leur leadership. Sans dieu, ni maître-sse.

 



Retour d'expérience

Au delà de son don pour partager ses recherches, sa culture et nous transporter ailleurs, la force de Saïda Naït-Bouda est de savoir créer un écrin hors du temps pour que chacune puisse se révéler à elle même.


Telle une cheffe d’orchestre, elle impulse le mouvement, accompagne, facilite, guide, libère les corps et les esprits.


Ainsi, le rituel d’ancrage offre un lieu de (re)connexion à soi, à l’intérieur duquel chacune dialogue avec elle même et cherche ses propres réponses portée par l’énergie sororale.

LUDWINE


Qui suis-Je ?

Danseuse et chorégraphe, je transmet une pratique artistique d'ancrage énergétique par le réveil de savoirs ancestraux logés dans notre mémoire corporelle.

 

Ma transmission vient d’une longue quête identitaire, je suis née en France de parents algériens, où j’ai cherché à trouver ma place entre le poids de la tradition et celui de la discrimination.

 

C’est dans cette quête au pays des origines qui s’est cristallisée sur les rituels à caractère thérapeutiques, que j’ai trouvé une sorte de graal : le Hâl. Un état de présence intense où l’individu se rassemble et peut exprimer la partie de soi la plus profonde.

 

Ce qui m’anime c’est sortir des assignations, et créer le monde où l'on veut vivre. Debout, et active. Indépendante et créatrice.